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« Martin enviait le pélican qui nichait à terre, mais savait nager, plonger et surtout voler. C'est ce vol qui le fascinait, quand les oiseaux rangeaient leur cou devenu encombrant, entre leurs épaules, le bec immobilisé dans l'alignement du reste du corps, et qu'ils étendaient leurs immenses ailes. Il suivait chaque plané, chaque virage, chaque descente chaque battement d'ailes, en observant le moindre détail, en s'imaginant les sensations de l'oiseau, celles de ses mouve-
ments, celles de ses efforts.»

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